Un tableau collectif qui fait le tour de l'Ile de France

Ravie de savoir que l'oeuvre collective "Mon Habitat rêvé", du mois de février dernier soit appréciée par un public qui suit l'exposition dont Caroline Cazor, atelier d'architecture & création participative, fut l'initiatrice.


L'oeuvre est ici hébergée par l'école d'architecture de la ville  et des territoires de Marne La Vallée.


Il est nécessaire de préciser que revoir l'habitat est aussi une façon de revisiter sa façon de consommer.
Le lieu de vie est assurément le premier puits de dépenses pour chacun d'entre nous.
Il est le reflet de nous même : du confort qu'on y recherche comme l’expression ce que l'on est.

C'est pourquoi il est à constater que s'avère la maxime "souvent femme varie" et qu'en effet, c'est celle-là même qui voudra changer les meubles de place régulièrement, les customiser (pour les plus inventives) ou les changer tout bonnement.
Ce qui est très Feng shui au final : on change, ça change et l'harmonie se maintient!

Qui dit consommation, dit recyclage, dit réutilisation, dit réinvention de l'utilité et du beau. 


De ce fait, fan inconditionnelle du détournement des matériaux depuis l'enfance, les matériaux ici de la cuisine (de ma cuisine, j'avoue !) ont été proposés au bonheur des participants interpellés par l'ouverture que la mosaïque propose. C'est ainsi que les bouchons de liège, les graines de Longane (fruit au goût de miel légèrement juteux), les rameaux des arbres du parc de saint Lambert, les tronçons de branches de sureau (apprécié pour les hôtels à insectes), les coquilles d'huître (appréciées par Zézette, épouse X), les coquilles de pistache et de noix, les mini galets se sont mêlés librement et joyeusement (n'exprime t-il pas la joie ce tableau ?) aux matériaux traditionnels de la mosaïque tels que les pâtes de verre et les émaux.

Les participants et moi-même avons eu un immense plaisir à mettre en forme des idées toutes personnelles de ce que serait l'agglomération



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